Т. Н. Грановский и его переписка [Текст] Переписка Т. Н. Грановскаго. Т. 2 (290,00 руб.)

Je n'ai reQu •de Papa que cent quarante trois r.—voila tout, c'est a dire cinquante roubles avec la poste et quatre vingt treize avec Goudim. <...> Mon oncle vent, du moins il ci-oit placer ses enfants chez Яковъ Андреевичъ % en attendant qu'on puisse les recevoir dans quelque etablissement public. <...> Je n'eu sais ) Герито, ем. нияіе письма къ ией. <...> 7 rien, ecrivez moi cela, je vous prie Monsieur Obroutzky vient-il chez vous? <...> Je ne sais quelle idee a mon pere, je crois qu'il pvend tout ce que je lui ecris relativement a mes besoms pour autant de mensonges. <...> II se tvompe fort, et je le desabuserai, avant qu'il ne se passe beaucoup de temps. <...> II m'a envoye deux cent roub. la derniere fois, tandis que je lui ai fait savoir encore en decembre que j'en devais presque cinq cents. <...> Si je dois m'en repentir dans la suite—et bien soit! <...> Je sais bien que I'etat de ses affaires ne lui permet pas de me donner beaucoup, mais je lui demande si peu. <...> Au reste je serai fils obeissant en tout ce qui dependra de moi. <...> II me reproche ma prodigalite quelquefois, je •voudrais qu'il vint a Petersbourg pour voir I'enfant prodigue. <...> Напиши сд лай милость какъ ты узнала, что онъ бранитъ васъ; но не онъ ли, дуракъ, прежде расхваливалъ Грановскихъ, говорилъ, что не видалъ д вушки скромн й тебя, a ша tante превозносилъ до небесъ—какъ же заставитъ Онъ в рить тому, КЪ С Т А Р Ш Е Й <...>