Письма (Апрель 1864-декабрь 1865)

Вследствие разных непредвиденных обстоятельств я выезжаю из Парижа скорее, чем предполагал -- а именно через неделю; и потому, если Вы до получения моего письма не выслали мне денег (в случае продажи свидетельств)1, то я прошу Вас выслать их уже в Баден, по моему адресу: Schillerstrasse, 277. <...> Я, ей-богу, ей-богу, как только приеду в Баден, займусь статьей о Пушкине6, и пришлю Вам до Вашего отъезда из Петербурга. <...> Chère et bonne Madame Viardot, je viens de recevoir votre petit billet 1 -- et je dois dire que je suis content que vous alliez à Carlsruhe; il me semble qu'un changement quelconque brisera cette torpeur, cette horrible immobilité de la situation2. <...> Dans tous les cas, le bon d-r Frisson est là et Carlsruhe est à deux pas de Bade. <...> A propos d'argent, j'adresse la prière suivante à Viardot. <...> Viardot ne serait-il pas assez bon de me prêter deux mille deux et quelques francs qui, avec les sept cents et quelques que je lui dois, feraient trois mille 6? <...> Viardot n'aurait qu'à lui écrire un mot ou bien à son banquier. <...> Je vous adresse la même prière pour les commissions: je ne voudrais pas être retenu un jour de plus à Paris. <...> Depuis deux jours il fait très beau -- et je ne veux pas regarder les feuilles vertes qui poussent: je me réserve pour Bade. <...> Je ne sais pas si je vous ai dit qu'il va publier un entretien entier sur moi8... <...> Mille bonnes amitiés à tout le monde <...>